Mesdames Gousseau
– Grenon et Bezias de l’Arair
L’Arair mène surtout des actions
en direction des personnes handicapées physiques. De plus en plus de personnes
handicapées veulent se déplacer pour sortir et accéder aux loisirs. Les
techniques évoluent tels les scooters et les fauteuils électriques. Ces matériels
sont sous prescription médicale et le financement, partiel selon un barème,
n’est pas toujours couvert par l’assurance maladie. Il y a une limite entre la
prescription médicale et les possibilités de la personne handicapée. La demande
se tourne alors vers des véhicules courants qui ne sont pas toujours adaptés
La prise en charge du transport et
de l’accompagnement des personnes par les établissements spécialisés a permis
de mettre en évidence l’importance et le coût de ce service.
Les relations avec les
administrations et les transporteurs
Si les personnes handicapées ont
des projets, les mettre en œuvre pose de nombreuses difficultés,
inaccessibilité des moyens de transport et de certains établissements,
inadaptation des équipements et des locaux eux-mêmes. De plus il faut améliorer
l’information sonore et visuelle et adapter les espaces urbains inaccessibles.
La loi souhaite répondre aux
besoins de la vie quotidienne, le traitement est souvent différent selon les
organismes (MDPH, CAF, CPAM, Mutuelles, mairies …), ils n’ont pas la même
réponse. Pour les scooters électriques par exemple, la SS la MDPH
Il faudrait adapter la réponse et
travailler entre professionnels et parents pour le développement de l’autonomie
de la personne. Plus la personne est jeune, plus ce sera facile de la rendre
autonome.
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